Tu veux modérer, bannir, changer les modes de jeu et tout piloter en un clic ? Installe Server Admin Tools sur ton serveur Arma Reforger et prends le contrôle. En quelques minutes, tu ajoutes le mod, configures tes droits d’admin et tu gères ton serveur comme un pro.
modId, version)2001/UDP (jeu), 17777/UDP (query)modId, le name et la version (ex: modId="59A23BCD12345678", name="Server Admin Tools", version="0.9.6"). Si tu n’es pas sûr de la version, tu pourras laisser version="" pour utiliser la dernière automatiquement. Garde ces valeurs sous la main, on va les coller dans la config.12345678901234567). C’est ce qui donnera les privilèges admin à ton compte. Si tu te trompes d’un chiffre, tu ne verras pas le menu admin en jeu.server.json (ou « Server Config » si un éditeur visuel est présent). a) Cherche la clé "mods": []. b) À l’intérieur des crochets, colle exactement ce bloc : { "modId": "", "name": "", "version": "" }. c) Remplis-le avec les valeurs du Workshop, par ex.: { "modId": "59A23BCD12345678", "name": "Server Admin Tools", "version": "" }. Enregistre le fichier (« Sauvegarder » en haut à droite) sans ajouter de virgule en trop ni de guillemets manquants.modId (une seule faute de caractère suffit à bloquer l’opération).profile/profile/. Ouvre ServerAdminTools_Config.json. Si le fichier n’existe pas, relance le serveur une fois avec le mod actif pour qu’il le génère, puis arrête-le et reviens ici. Lis les clés principales : admins, éventuellement password si le mod en propose une.ServerAdminTools_Config.json, repère "admins": { } et ajoute une entrée avec ton Identity ID. Exemple minimal : "admins": { "12345678901234567": { "nickname": "Owner", "immunity": 100 } }. Tu peux ajouter plusieurs admins en séparant par des virgules entre les entrées. Enregistre; si tu vois une erreur JSON au redémarrage, c’est souvent une virgule manquante ou un guillemet oublié.ServerAdminTools_Config.json (ex: "password": "ChangeMoiFort!"), entre-le. Si le menu n’apparaît pas: a) vérifie que le mod est bien listé dans les logs au démarrage, b) confirme que ton Identity ID correspond exactement à celui du profil.
– Stabilité: fige la version du mod avec "version": "x.y.z" pour éviter qu’une mise à jour casse ta config. Pour auto‑update, laisse "version": "".
– Sécurité: si le mod gère un "password", choisis 12+ caractères, mélange lettres/chiffres/symboles.
– Rôles/immunité: mets "immunity": 100 pour le propriétaire afin d’éviter un kick par erreur.
– Maintenance: planifie un redémarrage quotidien pendant les heures creuses pour libérer la mémoire et stabiliser les perfs.
– Réseau: si tu utilises un firewall externe, confirme l’ouverture de 2001/UDP et 17777/UDP.
Assure-toi que le mod est chargé: dans les logs au démarrage, tu dois voir un téléchargement puis un chargement du mod. Confirme que modId est exact dans server.json. Vérifie aussi que ton Identity ID correspond à l’entrée dans ServerAdminTools_Config.json et qu’il n’y a pas d’erreur JSON (virgule ou guillemet manquant).
Démarre le serveur une fois avec le mod déclaré dans server.json, attends « Server started », puis arrête-le. Le mod génère alors ServerAdminTools_Config.json dans profile/profile/. Actualise l’explorateur de fichiers du panel si besoin.
Retire la valeur de "version" (laisse "") pour prendre la dernière version. Si ça bloque encore, vérifie la disponibilité du Workshop et la validité du modId. Redémarre une deuxième fois pour forcer le fetch si la première tentative a échoué.
Tu es prêt à administrer ton serveur comme un boss. Prends 5 minutes pour tester chaque action (kick, ban, messages) et tu seras tranquille pendant les sessions de jeu.